mardi 14 septembre 2010
mardi 31 août 2010
lundi 23 août 2010
Photos du roadtrip en ligne!
Plus de 5000 km en 12 jours, des villes, des plages, des orages, des canicules, des bières et du temps inoubliable avec des amis qu'on voudrait jamais perdre. Ça c'est la vie. Ça c'est le fun. Ça c'est la route...
Vivement les prochains shows de Ste-Cath/Yesterd/autres bands qui voudraient faire appel aux services de La Racaille!
dimanche 1 août 2010
Last call
La deuxième journée à Nashville s'est commencée par un réveil tardif. On avait enfin la chance de se lever à l'heure qu'on voulait, fak on en a profité. Ensuite on est allé faire les touristes sur Broadway... On s'est acheté des salières/poivrières en forme de bottes de cowboy, des sous-verre western, un gazou, un t-shirt de souvenir pis 3 paires de bottes; une pour chaque DOUNES du voyage. Moi j'en voulais en serpent avec des criss de gros éperons en roues dentelées, mais vu que juste les bottes en serpent coutaient genre 600 balles, j'ai laissé faire... Après tout ce magasinage, nous étions dûs pour un peu de country d'après-midi dans un bar sombre et climatisé. Le premier sur lequel on est tombé était trash à souhait... avec des bruits de bouteilles à tous les 2 minutes, des vieilles enseignes en néon, des bottes de cowboy sur le mur, des gens saouls à 14h qui crient bonjour et babaille à tout le monde qui entre/sort, un vieux cowboy avec un eye-patch, une grosse moustache curvée par en haut, des vieux big bill taille haute et une chemise carreautée qui parle comme un osti de pirate, et ce fuckin fort, à chaque fois qu'il fait une action. Après mon ''spécial récession'' à 5$, composé d'une sandwich au bologne grillé, un sac de chips nature, une moon pie (genre un jos louis à vanille mais avec de la genre de guimauve weirdasse à place d'la crème) et une PBR, on est rentré à l'hotel sous les menaces tonitruantes (bin oui, tonitruantes..) de l'orage imminent. On s'est fait une saucette dans piscine avant que la tempête nous tombe dessus... et quelle tempête!! Il y avait des éclairs qui tombaient sur les buildings autour de l'hotel, de l'eau qui coulait comme une rivière dans les rues, et même 2 petites tornades presqu'à l'endroit où on était... Ça serait Leblanc qui aurait aimé ça! On a checké un peu le baseball à tv pi on a eu la chance de voir un grand chelem! Après, vu que l'orage était disparu, on est sortis en ville faire la tournée des bars... en fait... de 3 bars. On est rentré un peu croche, mais sur nos pieds quand même, les oreilles bourrées de country, de covers de rock et de language grossier.
Le lendemain, nous nous lancions sur la route à nouveau pour le grand retour à la maison. Ayant préalablement cancellé Memphis et Chicago du voyage, on roulait presque en ligne droite vers Montréal. On a fait un bon 700 km la première journée et on s'est arrêté à Colombus en Ohio. On a loué une chambre au pire motel de la ville, puis on est allé jouer au freesbee dans un grand parc rempli de lucioles et de chauve-souris. Nous avons ensuite été attirés par une pratique de pièce de théatre musical un peu plus loin dans le parc, où nous avons fait connaissance avec un bon vieux conservateur américain maillet moyen, qui nous a parlé de tout, allant de la rivalité entre l'équipe de football universitaire de Columbus; les Mad-Pigs-Tigers-Patriots-Smash-Pow (ou de quoi du genre... c'tait écrit su sa casquette anyway) et celle du Michigan, au mariage, en passant par le crime, Dieu et le fait que les gens de Columbus aiment les animaux... Nous nous sommes un peu tannés, et sommes allés prendre une tite bière au Gresso. Comme durant tout le reste du voyage, ils avaient pas en stock ce que Steph voulait, mais au moins ils avaient une table de pool gratuite dans une pièce du deuxième étage. On était seul en haut, sans musique et sans compagnons autres que nous 4. C'était un peu weird, mais au moins je pouvais enlever mes souliers...
Le lendemain on est partis de Columbus en direction de Buffalo. En lisant notre Lonely Planet, on a vu que presque directement sur notre chemin se trouvait une des plus grandes communautés Amish en Amérique du Nord. Les Amish c'est comme le village québécois d'antan, mais en vrai. Ça semblait être un truc intéressant et, à nos yeux, ça valait bin un détour. On s'est rendu au village principal, Berlin, pour se rendre compte que bien des gens avait déjà pensé à exploiter l'attrait que représente une communauté de l'ancien temps aux yeux du touriste moyen. Les rues sont bondées d'autos de tous les états, et les bords de rues sont bondés de tous les commerces touristiques possibles. Je me suis donc laissé tenté par un livre intitulé ''Weird Ohio'' traitant de sujets savants tels que l'orphelinat hanté deVermilion, la chaise berçant géante de Austinburg et le garage géant où sont fabriqués les dirigeables de Goodyear. La madame du magasin voulait bin que j'achète une boule de glue qui ressemble à un oeuf quand tu la crisses dans une fenêtre, mais j'étais mieux avec mon livre. On a fini par se rendre à Buffalo le soir, où nous avons mangé au resto où ont été inventées les ailes de poulet buffalo. Un peu déçus du résultat, on s'est trouvé un motel 6 en bordure de la ville pour finir de boire nos bières et notre whiskey.
Le dernier jour du voyage s'est entamé par une visite dans un beer store très bien garni. Armés de la connaissance de la limite d'alcool qu'on pouvait traverser aux douanes, soit 24 bouteilles de bière par personne, nous nous sommes lâchés loose dans le magasin. Bilan: 59 bières régulières, 8 grosses bières, un 26 oz de rhum Kraken et un 40 oz de bourbon, assorti de factures rocambolesques (bin oui, rocambolesques) pour chacun d'entre nous. Nous sommes ensuite rentrés au pays afin d'aller voir NOS chutes Niagara et NOTRE ville de Niagara Falls de déficient (ceux qui sont déjà allés comprennent). Nous nous sommes ensuite rendus à Toronto, où nous nous sommes baladés à pied et en char, où nous avons joué aux cartes, où nous avons mangé du thaï et où nous nous sommes disputaillés un brin sur la question des cyclistes vs automobilistes montréalais. Nous sommes ensuite allés prendre une bière sur une terrasse, après quoi nous devions se rendre en banlieue pour y passer la nuit... Le plan a changé soudainement lorsque la discussion suivante s'est produite: Moi: ''heille... on pourrait presque se rendre à montréal cette nuit...'' Do: ''on le fait tu?'' Moi: ''ok.'' Nous nous sommes tous levés d'un bond, à 11h, avons traversé la rue pour acheter 2 boisson énergétiques chacun au dep, et avons pris la route 15 minutes plus tard. Le cruise control à 130, nous avons rejoint Montréal vers 4h30, quelques instants avant le levé du soleil... juste assez pour atteindre mon lit, me mettre en boxers propres et fermer l'oeil avant que que les pemiers rayons du soleil ne l'atteignent........ bonne nuit...........
Nicolas Morissette
mercredi 28 juillet 2010
Roadtrip 2
Ensuite on partait pour le vrai voyage! On a commencé à descendre vers le sud-ouest en passant par la Skyline Drive et le Blue Ridge Parkway, deux routes pleines de courbes, de collines, de falaises, de vallées et de points d'observation. C'était vraiment malade et j'ai enfin pu profiter de ma belle machine comme je le voulais. C'était de la conduite comme dans me revues! VRAAAAAAAM!!!! BBBBRAAAAaaaa!! vraaaAAAAMMM!! BRROUUUUUuuuuBROoouuu... Le seul problème, c'est que ma prof de géométrie avait raison sur le fait que le pire des zigzag est jamais aussi rapide qu'une belle autoroute strait limitée à 110 km/h pour se rendre d'un point à l'autre. Résultat: on a du s'arrêter à la ville de Roanoke pour la nuit. C'était quand même boulversant de voir LA PLUS GROSSE ÉTOILE FABRIQUÉE PAR L'HOMME sur une tite montagne. Les dounes ont fini par me forcer à aller faire du camping sur le top d'une montagne infestée de crickets fuckins bruyants et ce à une chaleur accablante, encore une fois. J'ai quand même fini par avoir une nuit de sommeil digne de ce nom, pour être en forme pour nous driver jusqu'à l'ultime but du voyage: NASHVILLE, TENNESSEE (quoi?.. Memphis?? on a jamais dit qu'on allait à Memphis... tss...). Ici, fini les crickets volubiles, fini les sleeping bags trempés de sueur et fini les paiements sans préposé dans une boite en bois; les filles se sont rendues compte de leur flagrante erreur et nous nous sommes logés au chic Comfort Inn (où on croit que Paul McCartney logeait aussi pour son show le lendemain). Nous avons pris une petite ballade en ville, où nous nous sommes désaltérés avec quelques unes des 70 bières en fût du Mojo Bar, et où j'ai mangé les meilleures ailes de poulet de ma vie. On s'est aussi descendu une coupe de p'tites Coors dans un autre bar où on nous proposait du soi-disant rock'n'roll soi-disant intéressant dans un bar pour des touristes fans de tout ce que la radio leur propose. Anyway, ce n'était qu'un avant-goût de ce que Nashville nous réservait pour le lendemain... Et de ce que je, bloggeur au sens du suspens inné, vous réserve pour le dernier stretch de ce blog spécial voyage...
L'Ohio c'est sketch.
À bientôt.
Rancho-Frederico
mercredi 21 juillet 2010
roadsnroadies spécial roadtrip
Ce même hôte nous a guidés le lendemain au musée d'archéologie et au musée d'art; l'un pour moi et Marie, l'autre pour Do et Steph. Puis nous avons pris la direction de la presqu'ile américaine ayant 65 miles de courbes (selon le jeu ''quelques arpents de piège''): Cape Cod, où nous avons passé la soirée à la plage, et la nuit dans et à côté de la voiture dans le stationnement du centre de bowling local, où les policiers nous ont laissé dormir, malgré la ''loucheté'' de notre situation. Nous avons passé la journée sur la beach aujourd'hui, à laisser cuire notre peau, pour ensuite aller se plaindre chez un autre couchsurfer à Mashpee, tout juste à l'entrée de Cape Cod.
Demain nous irons à ce fameux Asbury Lanes jouer une petite partie de quilles et peut-être catcher un show intéresant en soirée... et peut-être boire des drinks qui goutent juste l'alcool, ou des shooters de 2 onces, ou des tonnes de bières à bas prix. Peut-être aussi perdre le contrôle un brin, déranger un hotel au complet, casser 10-15 bouteilles dans rue et se tirailler un peu partout en ville...
Asbury Lanes, here I come... again...
pas Nick la racaille, juste fred... ou nick... ou nico... ou frico... mais pas la racaille en ce moment.
mardi 6 juillet 2010
Le Jack aux Franco!
vendredi 25 juin 2010
La mort des squelettes
jeudi 24 juin 2010
2ième matin en
Abitibi, on va déjeuner au St-Exupéry. Le staff de la place est très sympathique. Ça fait pas 10 min qu'on est là pis y sont déjà en train de faire jouer l'album de Tracteur Jack. Le proprio sort en nous disant que si la musique est trop forte ou trop plate, il peut arranger ça. Un bon farceur! Il vient ensuite prendre une photo afin d'immortaliser notre venue sur son mur des célébrités. WOW!
On part pour La Sarre bien relax pis on arrive au Bistro la Maîtresse en chantant Gaël Huot, Gaël Huot, depuis qu'on le connaît, on ne s'ennuie jamais....( C'est le proprio). Il est là, donc
du coup on à l'air moins caves. On se tape le soundcheck vraiment relax en chillant sur la terrasse avant d'aller checker in à l'hôtel pour encore relaxer un brin en écoutant Lucky Luke pis en sortant un maximum de jokes comme celle de Contrat de Gars genre: YOUGOURT, SUSHI, YOUGOURT, SUSHI, :::YOSHI!!! On se dirige ensuite vers ce qui semblera être notre premier rating de hot chicken. Par contre, ce fameux restaurant où tu manges, après 1h15 d'attente, en étant vraiment aveuglé par le soleil de fin d'après-midi/début de soirée, où tu t'entends pas penser tellement le monde est chaud et crie sur la terrasse en plus des kids qui gueulent et se promènent partout en courant, servait de la pseudo bouffe mexicaine qui à vraiment alléché votre ami Gasoline
Lauzon. Soooooo..... no more hot chicken rated for the Abitibi!!! C'est pas, ma faute, j'en suis très attristé et je sais que je vous suis très déloyal mais... Ce sont des choses qui se font à 2!
On retourne au bistro, petit shooting photo pour l
e Jack dans la cave du bar et hop, le show commence! Ça s'annonce vraiment bien car en plus de bien sonner et d'avoir un très bon éclairage et de l'espace pour prendre des photos, on à la chance d'avoir notre ami Raymond Lancto qui est recherchiste en Abitibi pour l'été et qui a sorti sa crowd du bois pour venir célébrer avec nous! Le spectacle se passe bien et les gens aiment ça. J'ai des visite de gens un brin spéciaux à la merch ... par exemple: une fille pas trop à jeun qui veut savoir en se frottant le corp, non pas si elle est jolie dans un chandail de TJ, mais bien: FOURABLE! Welllll... On reload la van, on essaye de re-strappé le tracteur jouet sur le toit du véhicule. Par contre, ce tracteur fut un bri
n utilisé et brisé pendant le show. Fak on l'a calissé dans un contener! La mascotte sul top d'là van aura juste fait Rouyn- La Sarre.... Une mascotte de l'Abitibi finalement!
On retourne prendre une bière au bar et en moins de 2, ça vire en grosse bataille
de poudre à bébé( qui est là pour jouer au pool en temps normal).. Devinez qui a starté le bal...???..... Julien avec un G! Comme d'hab! Alors on termine nos pintes de bière pleine de pourrdre à bébé et on va finir ça en contest de danse sur le stage pendant que le stéréo nous pousse ce nouveau succès: Aléhandro Aléhandro.....!!!!
De retour à l'hôtel. on prend encore de la bière, on fait plein de bruit, on se bat dans garnote jusqu'à ce que Thierry décide de monter sur le toit afin de danser un brin. On film le tout. On dit à Machine gun de se piquer une petite course sur le toit, chose qu'il n'hésite pas du tout à faire. Il n'avait, par contre, pas vu le gros fil électrique qui passait à la hauteur de son chest... Résultat: un beau spectacle benh trop drôle pis une bonne marque en plein milieu du chest... probablement disponible éventuellement sur la page facebook de TJ. Il redescend du toit et on se relax un peu. Le bonhomme proprio de l'hôtel sort benh endormi et nous demande si on a vu de quoi de spécial car il a entendu du gros bruit. -Euh.. nanon, on a rien vu.. C'est peut-être la van qui mène du train pas mal pis ça fait pas longtemps qu'on est arriver alors.... on sait pas du tout... En plus d'avoir des chandail pis des tatouages dans l'front écrit «COUPABLE» dessus, Thierry a le genou et la main en sang et siffle comme un épais! HAHHAHA! Que du feu!
Quelque minute plus tard, des gars benh chaud qui occupe la cham
bre d'à côté arrive avec chacun une grosse poutine dans les mains. Ils sont tous là pour un gros tournois de golf. Un d'eux est vraiment mélomane et animateur radio pour le FME alors on y jase pendant un bout en essayer de ce frayer une place vers ce festival. Par contre la majeur partie du band ayant une influence médiatique est dans la chambre relax en train de dormir et/ou de getter clean their theets! Je sais pas si vous avez déjà vu Thierry dans une entrevue télé mais .... je l'engagerais peut-être pour un camp de jour .. pis encore... fak imaginez le à moitié saoul avec des membres meurtris! HHAHHa.. C'était du très bon PR quand même! Tellement que les golfeurs nous ont tous shooter le reste de leur poutine AKA frite sauce.... GRACIAS HOMBRES!!! Ç'est fuckin' satisfaisant quand t'es sur les munchs en fin de brosse dans une ville étrangère où tu sais pas où est la poutine 24h. On cale donc ces poutines one shoot pis on continue notre brosse. Stephanie pass out en premier. Elle a d'ailleurs un SACRAMENT de bleu sur la cuisse à cause de son jeu de tambourine au Cab la veille.... parenthèse drôle comme ça! C'est Thierry qui prend le bord du lit par la suite. Moi pis Djo , on fait le pacte de finir tous les stocks de bière.... chose promise, chose faite. Ce qui est pacté est pacté ( t'a pogne tu?) On a eu une très bonne discussion le fun... mais ça restait une décision un peu nébuleuse étant donné que nous devions nous lever pas trop tard le lendemain... Bref, on s'est coucher à 7h20 et je me suis lever vers 10h15 à cause d'un mauvais appel dans notre chambre.... J'était scrap là!!! J'avais la bouche comme un désert, je titubais et entendais une ruche non-stop dans mes oreilles. Tsé quand tu vas chier ta bière pis que tu t'endors presque sur la bolle pis que tu sens tes tempes sortir d'environs 1 mètre sur chaque côté de ta tête à chaque fois que ton coeur bat et ce en plus de la fan de salle de bain d'hôtel qui te paraît comme un marteau piqueur qui serait entrain de te driller le crâne sur un criss de temps! C'te genre de matin là!
On wrap le stock, pis on part destination LOUGUETTE pour la pizza du dimanche que notre ami Ray nous avais forcer, à l'aide de sa consommation d'alcool accrue, à aller déguster sans compromis! Un chance que c'est à mi chemin entre La Sarre et Rouyn car j'ai encore les leftovers des golfeurs qui me roulent dans la gorge en dansant avec ma dernière bière. On se pointe chez Louguette et, non seulement Raymond est là , mais toute sa gagne de b
iologiste aussi. Alors gros party déjeuner. Mais je su ma vie et j'ai le goût de mourir, le tout avec un beau sourire de déficien
t sur les lèvre. Cette pizza du dimanche est tout à fait succulente... drette ce que tu veux: bo
ucher tes artères pendant que c'est bon dans yeule! Pain nan, oeufs brouillés, saucisses, bacon, jambon, sauce hollandaise, fromage! Dans ta face cardio de merde, j'va aller fumer des clops pendant 8h dans l'char pour orvenir à Montréal après! On fini de manger puis on se retrouve dehors pour élaborer un plan avec tout le monde dans le but de laisser notre trace chez Louguette et de faire la journée de la petite propriétaire bien sympa, étant donné le rush qu'on vient de faire subir. Alors on se met à chanter comme d'habitude et on fait le pont ( tsé l'affaire que tu te mets un à côté de l'autre en tenant le mains de la personne devant toi bien haut pis à tour de rôle, tout le monde passe en dessous et va se replacer au bout....) Bref, un petit camp de vacance de 5 min pour égayer la journée de madame Louguette! Ce fut apprécier je crois.
On reprend donc la route, car, elle est encore très longue. À cette étape, nous somme à environ 35 à 40 min de Rouyn. Rendu à Rouyn, lorsque nos routes se sépare, je suis sur le point de monter ma fenêtre par précaution puisque nous seront ,dans quelques mètres, vis-à-vis la van et que c'est toujours risqué. C'est alors que Djo me tend un stylo du motel Alpin. Jul conduisais et ne se doutait de rien avec sa fenêtre ouverte seulement d'environ 2 pouces. D'un lancé extraordinaire, je vise la petite fente dans la fenêtre et lui brandit le stylo environ à 10 cm du visage. Voilà, nos route se sépare et je suis sauf! C'était une bonne petite vengeance, drôle, inattendue, surprenante, bien placée et pas trop ch
ienne. Je me disais par contre que la revanche de Jul, fidèle à ses habitudes, allait être redoutable, mais qu'elle ne serait pas live au moins! On arrête à une station service juste avant le parc pour acheter des vivre pour la ride. Les gars ont décider de faire la même chose. Alors Jul me dit :
-Ouin beau lancé!
-Pas pire enh?? Merci!
-Ouais je l'ai jamais vu venir!
- Je suis sur que ta revanche va être terrible par exemple.
- Benh non Dave c'est chill, j'avais besoin d'un crayon anyways.
-Ouin, je commence à te connaître par exemple!
On se salut et on enclenche la route du parc. On a pas fait 3 km que la van nous poursuit à vive allure avec un passager au surnom de Tabasco qui nous balance des clémentines et d'autres fruits. On tente d'éviter les
projectiles et de trouver des chose à leur lancer, mais c'est eux qui on garder le sac de provisions dans la van alors tout ce qu'il nous reste à faire, c'est de tenter de nous rappeler ce qu'il restait de la bouffe de la fin de semaine afin de savoir ce qui nous attend. J'ouvre un vieux 2L de déli 5 et leur lance sans succès. C'est alors que je vois Jul avec, dans les mains, le pot de beurre de pinote qui était sur le dash depuis l'arrivé en Abitibi AKA très chaud, mais surtout liquide. Il fait une première feinte de le lancer, puis à la deuxième il le lance mais par terre, donc, on ne le voit plus pendant une seconde puis il éclate sur le devant de la van qui se retrouve vraiment pleine de beurre de pin! On est fuckin' crampé qu'il se soit fait avoir à son propre jeu... en plus qu'il ne peuvent juste pas partir les essuies glaces sinon c'est l'aveuglement total. Comme on pense encore à ce qu'il reste dans le sac d'épicerie, la van clenche pour nous dépasser et Steph crie CREAM CHEESE. FUCK! Julien nous balance à l'instant un bloc complet et surtout à température char en juin, de vieux fromage à la crème
qui éclabousse dans la fenêtre conducteur du char. Il s'était vengé, et nous n'avions d'autre choix que d'arrêter puisque de 1: c'est dégeux, de 2: ça coupe la vision, et de 3: il fait chaud et on veut ouvrir les fenêtres. On va donc lavé ça à la dernière station service avant l'entrée définitive dans le parc.
En repartant, nous apercevons une grande colonne de fumée qui monte dans les airs. Plus on s'approche, plus elle est grosse et abondante. C'est que lorsque nous sommes rendu tout près que nous nous rendons compte qu'il s'agit bel et bien d'un feu de forêt. Nous décidons donc d'arrêter pour prendre des photos. Nous prenons un petit chemin menant vers le bois et nous arrêtons. On sort pour les photos et pour mieux entendre le feu et sentir la chaleur. C'est
vraiment incroyable, malheureux mais beau comme phénomène. Par contre on ne pouvait pas rester dehors longtemps étant donné qu'il y avait trop d'épines de conifères brûlées qui nous tombait dessus. On est donc retourné dans la voiture qu'on a parké face au feu dans l'espoir d'attendre le dernier moment ava
nt de fuir. Les avions sont arrivées peu de temps après afin d'éteindre le feu. J'aurais vraiment aimé être à l'extérieur pour pouvoir prendre des photos. C'est fuckin' impressionnant, vraiment vraiment gros, vraiment vraiment beau, et les avions volent à environ 2 mètres au dessus des arbres. MALADE! Puis la police est arrivé et nous à demander de quitter. Chose que nous fîmes rapidement. 20 min plus tard, on arrive au spot ou ya un grand lac et que les gens peuvent faire du bateau. On voit quelqu'un sur le bord de la rue, puis on avance et Jul jump du bord de la route puis tente de nous lancer le reste de sa bouteille de Poweraid! C'est la bagarre!
Ça va être beau quand on va être tous dans la même van! J'ai hâte!
Votre Multiroutier/foodfighter par excellence: -Tenderboy
mercredi 23 juin 2010
La Fat au Cabaret!
Notre arrivée en Abitibi
jeudi 17 juin 2010
comme entendu dans hochelag à propos des immigrés: ''appranez donc à parler en frança, bout d'criss''
Mercredi, je reprenais possession d'une bonne partie de mes responsabilités; nous avions la van de Brixton Robbers, avec qui je devais coordonner le pick-up, je devais chauffer jusqu'au show, je devais vendre la merch et je devais boire les bières gratuites disponibles. Le reste du managing étant maintenant pris en charge par un employé plus spécialisé, afin de répondre aux besoins grandissants du retour des Ste-Caths sur les stages. Donc, après avoir fait un ménage monstre dans nos 3127 boites de merch, nous nous sommes rendus au métropolis pour les sound checks. Pendant ce temps, j'apprenais tout ce qu'il y avait à savoir sur la merch des Vulgaires Machins car, eh oui, je m'occupais aussi d'une partie de leur merch, aidé par une extrêmement sympathique roadie, Vicky. La soirée s'annonçait rough, mais agréable. J'avais jamais fait la merch au métropolis, mais je me rappellais bien une image de ma main qui tend un paquet de fric à travers 6 autres personnes dans l'espoir que le gars d'la merch de flogging molly, totalement débordé, vienne enfin me servir... J'me suis finalement rendu compte que 1) c'était pas si pire ou que 2) on est pas tant populaire. De mon trou au fond de la salle, le show m'a semblé bon et ma soirée fut très bien aussi. Je suis revenu à maison vers 1h, et mon lendemain (comme tous mes lendemains de la semaine) fut un peu dur...
J'ai vraiment hâte à la sortie du nouveau Ste-Caths! L'énergie de ces shows-là me manque... bientôt... bientôt!
mercredi 16 juin 2010
BonVivant en plein air
Lancement de Western Camembert
mardi 8 juin 2010
Les affaires reprennent
Le lendemain, petite saucette à la piscine du 330, de la couronne, petit club poutine (avec la sauce la plus épaisse que j'aille vu à date) au resto rouge sur la route avant de rentrer dans le parc, et tout droit jusqu'à La Baie pour un mariage. Eh oui, Yesterday's Ring donne aussi dans les mariages, particulièrement dans celui du genre de nouveau drummer des ste-caths et maintenant bon ami du band, Luc Gagné. On va déloader le gear à la salle, puis on va checker in à l'hotel en attendant que la petite cérémonie à l'église se termine. On rejoint ensuite deux centaines de cousines, tantes, oncles, amis et dounes en tous genres pour le reste de la soirée et le souper. J'ai pas de merch à faire, donc je me stresse pas. En plus l'hotel est genre à 400 mètres de la salle et on a une bonne quantité de bière à notre disposition. L'animatrice et dj de la soirée est aussi déprimante que de checker l'évolution de la marée noire sur LCN, alors l'heureux marié lui coupe son temps d'antenne un brin, pour passer au shows des Mockin Birds et de Yesterd. Tout le monde a bin du fun. Moi j'fatigue assez vite, et je vais me coucher à l'hotel pas si tard. On se pogne un bon déjeuner le lendemain, et on revient à Montréal rapidement pour satisfaire les pères de famille.
À suivre prochainement, Yesterd aux francos, Ste-Caths aux francos et Ste-Caths au Petite Nation Rockfest. J'vous suggère fortement d'assister à ces trois concerts. Ça va être d'la bombe!
Nick la Racaille Sport
dimanche 16 mai 2010
J'adore prendre l'avion. CHaque fois que j'ai l'occasion de la prendre, j'aime ça. (avez vous remarqué le CH au début de ma phrase...? partisanerie subliminale.) J'aime quand on survole des petits amoncèlements de nuages. On dirait des iles de mousse sur une mer cristalline, avec des mini-villes au fond. J'aime quand on redescend pi qu'on se rapproche de plus en plus de la couche de nuage, comme si on volait en rase-motte au dessus d'une chaine de montagne ouatée, jusqu'à ce qu'on frappe de plein fouet une de ces montagnes, pour se rendre compte qu'on passe doucement à travers. J'aime bin descendre près d'une ville et trouver que ça ressemble étrangement à Sim City. J'aime bin débarquer de l'avion à Wilmington pi me rendre compte qu'il fait 25 degrés à 22h30. J'aime bin aussi qu'une navette vienne nous chercher pour nous apporter au Hilton sur le bord d'la rivière.. mais ça, ça fait pu partie de prendre l'avion. Notre hotel est évidemment (c'est un Hilton, franchement) malade. Après avoir déposé notre stock à l'hotel, on part pour se rendre dans un des 7 bars où le rad fest se déroule afin d'y jouer un mini-set secret en préparation au lendemain. Le son est dégueulasse, mais c'est quand même un show des Sainte-Caths. Chu donc bin content. On se fait des potes avec qui on boit un peu, et qui nous amènent manger une ''slice of life'' à la fameuse pizzeria de Wilmington nommée ''slice of life''. On revient à l'hotel un peu chaudaille, pi on se paye une tite baignade de fin de brosse. Jusqu'à ce que des gardiens nous annoncent que la piscine est fermée depuis 10h... Au lit.
Le lendemain, on se prend un petit déjeuner canon au resto que tout le monde nous a recommend, pi on revient s'étendre sur le bord de la piscine. 3 tortillons au soleil... 1 heure.. 2 heures... 3 heures... 3 beaux colons rouges brûlés vifs qui rentrent à l'hotel en se plaignant. C'est des beaux coups de soleil comme on les aime. Le chest en feu, les bras à moitié dins airs, une canne de Bud Light frette su'l front. On va manger au Hell's Kitchen pour essayer de faire chauffer le dedans autant que le dehors, pour égaliser un peu. C'est ma fête. Mais parait qu'on doit aller au Friday's pour avoir une genre de célébration. La S-G qui nous sert me donne un gâteau au fromage, qu'elle facturera ensuite aux autres. C'est où le Friday's?? On va au bar en préparation du set. 15 tounes, la moitié sont des nouvelles. J'ai bien pris soin de me paqueter un peu la fraise, pour oublier le fait que j'ai personne avec qui fêter à Wilmington, (mis à part le gros de tiltwheel qui m'a payé un drink pi jenny, la driver de Leatherface durant la tournée) pi que ça serait donc hot d'avoir des chums avec qui checker notre band favori. J'trippe pareil. Les nouvelles tounes sont ***********************. (tu le verras bin toi-même... un jour que lalbum sortira). Le show se termine et on chille là un boutte avant d'aller ailleurs... messemble.
Samedi, on a la journée au complet off, alors la moitié se rend au centre des resptiles, pi ma moitié planifie aller à la plage, mais finit par juste s'étendre à la piscine. J'aurait dû aller au centre des reptiles... parait qu'il y avait un crocodile qui a mangé un poulet en disant ''la racaille'' bin vite. Moi j'pense qui disait surement ''d'la volaille'', vu les circonstances, mais j'm'ostine pas. On mange encore du feu au firebelly le soir avant d'aller checker une coupe de band pi les gars montent sur le stage jouer ''sour grapes'' de leatherface, en l'honneur de leur ''pas passé aux douanes pour venir au fest''.
Ce matin, on quitte pour l'aéroport et on arrive à burlington pour se rendre compte que notre van est toujours là, mais que la batterie est morte parce que le voyou qui est venu fouiner dedans avait laissé les lumières allumées. On appelle le CAA et nous voila de retour sur la route, au son de ce qui semble vouloir devenir la première défaite du Canadiens contre ces oranges de Flyers.
Conclusion de tout ça? fait chaud en criss en Caroline, même si c'est celle du Nord.
Nick la racaille