mercredi 28 juillet 2010

Roadtrip 2

Bon, c'est pas comme si j'avais eu beaucoup de temps à consacrer au blog durant les derniers jours... En bref, on est allé au Asbury Lanes, pour apprendre qu'on devait payer 30 balles pour un événement à saveur hip hop quelconque, dont on se crissait, de toute évidence, tous. Nous sommes donc allés manger des hot dogs cubains sur le boardwalk de la plage. Le lendemain, on a mangé un déjeuner décevant au célèbre Frank's Deli, sur la ''Main'' de Asbury Park, puis avons parcouru la route jusqu'à Philly, où nous avons pris une petite marche dans l'infernale canicule du centre-ville de juillet. Do et Steph sont allées voir des vieilles affaires chères au musée des arts, tandis que moi et Marie sommes allés à la bibliothèque (ou la bibli, comme on disait à 9-10 ans) pour planifier la suite du voyage. On est ensuite allé mangé d'excellents (pour vrai!) sandwichs et de très bonnes bières dans un bar de bobble-head, avec un serveur de style frais-business-sérieux-punk un peu ambigu. Ça allait nous préparer pour notre effroyable nuit à la ''suite des bosquets'' au Wal-Mart Supercenter d'une ville de trou su'l'bord d'l'autoroute. On s'est fait une tite sortie en gang au wal-mart 24h où nous avons trouvé jouets, linge et un coffret des 4 films de Superman pour 13$. Ensuite, on s'est étendu bin confo dans des copeaux de bois, à l'ombre d'un lampadaire de 300 000 lumens, les pieds sous le char pi la tête dans les bibittes. On a aussi bien dormi que sur la track de métro verte à berri-uqam durant l'heure de pointe d'une après-midi d'alerte de chaleur a.k.a. pas très calme, pas très sombre, pas très fraiche et pas très revitalisante.

Ensuite on partait pour le vrai voyage! On a commencé à descendre vers le sud-ouest en passant par la Skyline Drive et le Blue Ridge Parkway, deux routes pleines de courbes, de collines, de falaises, de vallées et de points d'observation. C'était vraiment malade et j'ai enfin pu profiter de ma belle machine comme je le voulais. C'était de la conduite comme dans me revues! VRAAAAAAAM!!!! BBBBRAAAAaaaa!! vraaaAAAAMMM!! BRROUUUUUuuuuBROoouuu... Le seul problème, c'est que ma prof de géométrie avait raison sur le fait que le pire des zigzag est jamais aussi rapide qu'une belle autoroute strait limitée à 110 km/h pour se rendre d'un point à l'autre. Résultat: on a du s'arrêter à la ville de Roanoke pour la nuit. C'était quand même boulversant de voir LA PLUS GROSSE ÉTOILE FABRIQUÉE PAR L'HOMME sur une tite montagne. Les dounes ont fini par me forcer à aller faire du camping sur le top d'une montagne infestée de crickets fuckins bruyants et ce à une chaleur accablante, encore une fois. J'ai quand même fini par avoir une nuit de sommeil digne de ce nom, pour être en forme pour nous driver jusqu'à l'ultime but du voyage: NASHVILLE, TENNESSEE (quoi?.. Memphis?? on a jamais dit qu'on allait à Memphis... tss...). Ici, fini les crickets volubiles, fini les sleeping bags trempés de sueur et fini les paiements sans préposé dans une boite en bois; les filles se sont rendues compte de leur flagrante erreur et nous nous sommes logés au chic Comfort Inn (où on croit que Paul McCartney logeait aussi pour son show le lendemain). Nous avons pris une petite ballade en ville, où nous nous sommes désaltérés avec quelques unes des 70 bières en fût du Mojo Bar, et où j'ai mangé les meilleures ailes de poulet de ma vie. On s'est aussi descendu une coupe de p'tites Coors dans un autre bar où on nous proposait du soi-disant rock'n'roll soi-disant intéressant dans un bar pour des touristes fans de tout ce que la radio leur propose. Anyway, ce n'était qu'un avant-goût de ce que Nashville nous réservait pour le lendemain... Et de ce que je, bloggeur au sens du suspens inné, vous réserve pour le dernier stretch de ce blog spécial voyage...
L'Ohio c'est sketch.
À bientôt.
Rancho-Frederico

mercredi 21 juillet 2010

roadsnroadies spécial roadtrip

Hey, comme ya pas vraiment d'action côté roadage ces temps-cis, et comme je profite de mes vacances pour parcourir l'est des États-Unis, je me suis dis que j'entertainerais nos 10-12 lecteurs avec des histoires de cette ''bandless'' aventure. So, nous sommes partis tôt lundi matin de Montréal, en direction de Boston. Biensûr, 4 jeunes sans plan particulier dans une voiture à la frontière américaine, ça look dangereux, weird, anormal ou hippie; ce qui veut dire que nous nous commes tapé l'attente dans la douane, la fouille de notre voiture, et la dégustation précipitée de nos mangues, figues et oranges sous les yeux étonnés d'un douanier pas particulièrement apprécié de notre Do de voyage. Après cette petite mésaventure, nous avons complété la route jusqu'au quartier chinois bostonais, où nous avons mangé dans un excellent resto malaysien. Nous avons ensuite digéré ces crevettes, piments, citronnelle et etc dans les gradins d'une partie de softball opposant les ''good times'' aux ''bandits''... On pouvait facilement savoir qui gagnerait la partie, seulement en se basant sur le nom des équipes. La partie n'ayant alors plus aucun intérêt, je me suis concentré à réussir à prendre ces foutues éclairs en photo avant que la pluie ne se déverse sur cet événement sportif de grand standing. Mission accomplie, 4 fois plutôt qu'une. Vif comme l'éclair. Nous avons ensuite trouvé un host de couchsurfer chez qui nous nous sommes rendus pour boire nos bière et notre vin.
Ce même hôte nous a guidés le lendemain au musée d'archéologie et au musée d'art; l'un pour moi et Marie, l'autre pour Do et Steph. Puis nous avons pris la direction de la presqu'ile américaine ayant 65 miles de courbes (selon le jeu ''quelques arpents de piège''): Cape Cod, où nous avons passé la soirée à la plage, et la nuit dans et à côté de la voiture dans le stationnement du centre de bowling local, où les policiers nous ont laissé dormir, malgré la ''loucheté'' de notre situation. Nous avons passé la journée sur la beach aujourd'hui, à laisser cuire notre peau, pour ensuite aller se plaindre chez un autre couchsurfer à Mashpee, tout juste à l'entrée de Cape Cod.
Demain nous irons à ce fameux Asbury Lanes jouer une petite partie de quilles et peut-être catcher un show intéresant en soirée... et peut-être boire des drinks qui goutent juste l'alcool, ou des shooters de 2 onces, ou des tonnes de bières à bas prix. Peut-être aussi perdre le contrôle un brin, déranger un hotel au complet, casser 10-15 bouteilles dans rue et se tirailler un peu partout en ville...
Asbury Lanes, here I come... again...

pas Nick la racaille, juste fred... ou nick... ou nico... ou frico... mais pas la racaille en ce moment.

mardi 6 juillet 2010

Le Jack aux Franco!




Quelques heures de sommeil et hop, c'est les Franco! Djo passe me chercher en même temps qu'il passe pogner la nouvelle merch du Jack. ENFIN! C'est vraiment pas nice de dire: nah y m'en reste plus de lui non plus dans ce size là... pour la 4ième fois à quelqu'un qui veut encourager le band! Fak J'tais benh content pis en plus, c'est dans les beaux shirts que le Jack nous a pousser! On met donc un peu de temps avant de tr
ouver l'hôtel ou nous devons checker in rapidement pour ensuite loader la van des Franco( car on se rend pas sur le site avec notre propre véhicule, et oui, les franco offre l'hôtel pour les «Bands de l'Outaouais» comme Tracteur Jack... la classe! Une fois dans la van, on se met à chanter des tounes de camp, as usual, pis là, le déluge les chums mais... un bon là! Fak on déload à grosse pluie sale pis on fait connaissance avec le staff très smath et professionnel des Franco qui nous montre la loge/tente où se trouve un beau frigo pepsi rempli de jus/eau/cold shots/pepsi/7up....Cool.... J't'ai clencher environ 3 canettes de jus en genre 10 min tellement il faisait chaud et plus qu'humide! Je me met à rouler la centaine de chandails pendant que le stress est au max et que les gars font leur sound check. Je dois vraiment clencher car les T-shirts doivent être à une certaine heure au kiosque de souvenir( car je n'ai pas de merch à faire mais je dois quand même livrer la marchandise.) En plus de l'excitation et du stress qu'occasionne la première présence du Jack au Franco, on prie tous pour qu'il y arrête de tomber des piscines olympiques du ciel car sinon y' aura pas PARSONNE!!!! Une force supérieur à parlé, le soleil apparaît en même temps que toutes les familles et amis du band afin de créer une crowd qui donne déjà le goût de s'arrêter. Je cours donc pour aller porter mon gros sac de vidange remplis de tish-irt à la boutique souvenir du festival. J'ai l'air d'un beau hobo qui cours d'un bout à l'autre du site. En plus, la fille de la boutique me dis qu'elle en veut que quelque exemplaires... fak je me retape le site en courant avec mon
garbage bag. J'arrive juste à temps pour le décompte avant le show. Je sors mon appareil et c'est parti. Je shoot pendant tout le show.... Les festivals sont très cool pour ça, tu peux prendre des photos en consommant ce qui t'es offert. D'ailleurs, c'était mon cue pour commencer à boire. Je me suis dit que je n'allais quand même pas me starter avant le show ... à la cold shot en plus... mauvaise idée. Well.... le show se déroule très bien et il y a surprenamment foule pour la belle température qui était présente depuis seulement une 15ène de minutes. Je prend une tonne de photos pis de cold shot et c'est vraiment cool. C'est vraiment une réussite pour tout le monde. Le show se termine et tout le monde est fuckin' content. Les gars se font approchés un peu par des gens importants et d'autre moins...Il faut se grouiller de reloader car le chauffeur nous attend et un autre band embarque sur le stage après nous. Alors on repacte tout. Les gars du stage capotent parce que Machine Gun à encore fait ce bon vieux classique de s'éclater les doigts en jouant et de saigner sa vie, mais cette fois sur les peau du drum des franco. On retourne à l'hôtel en chantant comme des dingues! Ensuite ptite bouffe chez Djo avec les chummis pis on retourne à l'hôtel pour partyer! Djo à checké in dans un chambre fumeur alors on est pas trop stressés. Vraiment un très cool party de chambre d'hôtel.... trash, trop d'alcool, dômmé tight... c'est là que tu catch qu'une chambre fumeur avec les fenêtre qui ne s'ouvrent pas, c'est fait pour le veston cravate qui fume 2 ou 3 clops en écoutant la
TV avant de se coucher. Pas pour du wild people qui sont 15 et qui vont fumer un paquet chaque pendant la soirée. Je suis aller au chiottes pendant que le livreur se pointait avec les hotsss chickens pour les 5 ou 6 personne qui avaient commander dont moi, mais finalement quand je suis sortie, tout le monde mangeais... sauf moi...
Résultat: No more hots chickens rated for MTL City!
Morale: Ne pas uriner!
Fak, on a failli tous frencher, Thierry à pris une douche de glace avant de se battre avec Djo, je me suis foulé la cheville et j'ai vomit 2 fois.
À l'an prochain les franco.. j'espère!

-Tenderboy
(nom de camp: Melon bandé)